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Ma soeur est une artiste de guerre

Disponibilité Type Localisation Cote
Disponible Livre 1er Etage - Romans jeunesse R CAR A2
Disponible
couverture du document

Ma soeur est une artiste de guerre

Tome :
2
Auteurs :
Carteron, Marine Auteur du texte
Editeur :
Collection :
Année de parution :
2014
Depuis que Le Grand Jeu a commencé la guerre que se livrent Les Autodafeurs et La Confrérie ne se joue plus dans l'ombre. Elle a déjà coûté cher à la famille Mars. Après avoir perdu son père, ce sont les grand-parents d'Auguste qui sont morts en affrontant les Autodafeurs et leur mère est toujours dans le coma suite à sa blessure à la tête. Il devient urgent pour eux de rejoindre les autres membres de La Confrérie, de se regrouper pour lutter ensemble. Mais avant de quitter définitivement La Commanderie : Auguste, Néné et Bart décident de percer le secret renfermé dans les laboratoires de Godeyes Scan. Un complexe de recherche férocement gardé par la famille Montagues et les Autodafeurs. Ce qu'ils y découvrent, dépasse leur imagination. L'arme ultime. Celle qui fera définitivement pencher la balance en faveur de leur pire ennemi. Le compte à rebours est enclenché et c'est Césarine qui compte les secondes !
Idées lecture BnF : "Une gamine autiste exprime remarquablement bien ses sentiments dans un journal intime ; son grand frère se retrouve en première ligne pour lutter contre une organisation secrète (les Autodafeurs) qui veut la mort du livre pour mieux asservir les hommes - sans culture, pas de liberté. Des côtés très amusants, mais une violence terrible : la fillette de 7 ans va sans état d'âme tuer un homme, le garçon de 14 ans tue lui aussi quelqu'un... C'est plein d'action, de traits bien observés de la culture adolescente (le pouvoir des marques et de Facebook) ; promouvoir l'idée que le livre, c'est la liberté, est excellent ; les enfants handicapées et méprisées (Césarine l'autiste, et surtout Sarah la trisomique) tiennent un rôle décisif : que de points positifs ! Un roman bien ficelé, à fond dans l'outrance, mais qui laisse perplexe devant cette hyper-violence enfantine, même si on peut y voir un second degré réjouissant. "