Survivre à la perte. ° la solitude du chagrin. ° la culpabilité d'être là. Depuis la mort récente de son père et de son frère, Cedar est comme pétrifiée, tout à l'inverse de sa mère qui a choisi de s'épuiser physiquement dans la rénovation de leur maison de vacances. Et puis un jour, un mouvement : celui d'un garçon, bizarrement accoutré en costume d'époque, qui passe à vélo. Cédant à la curiosité, Cedar le suit... Un roman sensible sur le deuil (mais aussi sur l'amitié), au ton très personnel, avec un cadre original qui nourrit l'intrigue : le Festival Shakespeare de Summerlost en Utah. Les lumières chaudes de l'été semblent y briller pour l'éternité. ° découvrir.