De l'Amour en français dans le texte version bossa, aux errances dramatiques d'une tribu indienne disparue en passant par les paysages d'enfant devenus si petits une fois grands, la voix de ce Brésilien est d'une pudeur et d'une sensualité forte. Sur une mélodie inédite, composée par Baden Powell et son fils lors de leur dernière rencontre, l'artiste évoque, avec le souffle de l'hommage, tout ce que l'un n'a pas pu dire à l'autre. La présence de Philippe Baden Powell, pianiste magnétique et fils du maître, aux côtés du chanteur, n'en est que plus poignante.